En 2006, alors en fin d'étude d'étiopathie animalière, je me penchais sur "l'énigme" déjà "de noir pronostic" de la myoglobinurie atypique.
Ma réflexion m'amenait à conclure qu'on était probablement face à un évènement à caractère plurifactoriels dont les éléments environnementaux était au premier plan.
J'étais plus dans l'idée de la modification par influence climatique de la flore péri-racinaire, ensuite ingérée par le cheval.
Je m'étais fourvoyée. Le végétal incriminé n'a pas "poussé là", il est "tombé là", pour être consommé par un cheval qui, manquant de complément alimentaire, habitué à brouter le nez au sol, se contente de ce fruit fatidique.
Extrait de la conclusion du mémoire: Nous
proposons une suite étiopathique où le phénomène extérieur, ici la VE "facteur
climatique" n'engendre pas directement une lésion primaire, mais provoque
un phénomène réactionnel, ou phénomène primaire, qui va induire une lésion
primaire intestinale et ce par plusieurs biais.
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